Femina elasticus

Dans la série de photographies-performance FEMINA ELASTICUS, les sculptures formées par mon corps en mouvement, empêtré et contraint dans un vêtement rose, montrent la capacité à se tordre, à s’étirer, à dénaturer le corps, parfois jusqu’à l’abstraction. Ces actions sont une métaphore du tiraillement de la
femme, qui cherche à s’extirper de la pression sociale. J’utilise le mouvement en tension pour créer des formes organiques féminines. Le fond noir, neutre, vient renforcer l’impression de flottement, la forme devient l’image.